OL ‍: Il n'a jamais trahi Lyon malgré les rumeurs

OL : Il n'a jamais trahi Lyon malgré les rumeurs

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Bien avancé pour conclure le transfert de Georges Mikautadze cet été, Monaco a finalement été devancé sur le fil par l'OL. La participation du club princier en Ligue des champions n'aura pas pesé bien lourd dans l'esprit du Géorgien.

Georges Mikautadze vient de prouver que l'amour du maillot pouvait être plus fort que la Ligue des champions. Convoité par l'AS Monaco et l'OL, le Géorgien a été tout proche de rejoindre le Rocher. Le club princier avait une longueur d'avance sur les Gones avec une offre financière plus élevée que celle de l'OL. En outre, l'ASM joue la C1 cette saison alors que l'OL évoluera en C3. Une coupe aux grandes oreilles qui fait rêver plus d'un joueur. Cependant, Mikautadze a déjoué tous les pronostics pour aller signer à l'OL, le club qui ne l'avait pas conservé jusqu'à la fin de sa formation jadis.

Monaco n'a jamais eu sa chance

Mais, Georges Mikautadze n'est pas rancunier. Natif de Lyon, il a toujours gardé l'OL dans son cœur comme le prouve le choix du 69 comme numéro de maillot. Cette admiration est tellement forte qu'elle a influencé le transfert de Mikautadze. Interrogé par le Progrès, le nouvel attaquant lyonnais a révélé les secrets de sa réflexion personnelle cet été. Malgré ses efforts, Monaco n'a jamais été en mesure de le séduire. Son destin était scellé dès le début. « J’avais toujours l’OL dans un coin de ma tête. Quand j’ai entendu cet intérêt, j’ai dit à mes agents que je préférais Lyon à n’importe quel club », a t-il confié au quotidien rhônalpin.

Mikautadze a avoué n'avoir jamais douté malgré les difficultés sportives de l'OL la saison passée, se disant « fier » de porter désormais le maillot lyonnais. S'il a renoncé à disputer la Ligue des champions avec Monaco en septembre, ce n'est que partie remise. Cette C1, c'est avec l'OL qu'il compte la jouer. Il n'envisage qu'une issue pour Lyon en fin de saison. « Aller chercher le podium, bien sûr. Il n’y a pas de question à se poser », a t-il indiqué au Progrès. A lui de mettre autant de buts que nécessaire pour réaliser un deuxième rêve en deux ans.