Jean-Michel Aulas est favorable à l'idée de conserver Peter Bosz comme entraîneur de l'Olympique Lyonnais. Mais la venue de nouveaux actionnaires change tout comme l'a reconnu le président de l'OL.
L’Olympique Lyonnais a officialisé ce mercredi la prolongation de Maxence Caqueret, le club voulant ainsi confirmer ce que le patron de l’OL avait expliqué aux supporters, à savoir qu’il voulait de nouveau miser sur l’ADN et la formation. Mais forcément, avant même de savoir qui jouera sous le maillot rhodanien la saison prochaine, se pose inévitablement la question de l’entraîneur. Peter Bosz a encore un an de contrat avec Lyon, mais compte tenu de la médiocrité des résultats de cette saison, le technicien néerlandais est sur la sellette, l’absence d’une qualification pour les coupes européennes étant un vrai point noir. Jean-Michel Aulas n'a donc pas échappé à une question sur le cas Peter Bosz, et la position du dirigeant de l’OL a été à la fois claire à titre personnel, mais tout de même très floue concernant l’avenir du coach néerlandais arrivé l’an dernier pour remplacer Rudi Garcia. Car c’est une évidence, le gros mouvement capitalistique qui se prépare d’ici la fin du mois de mai aura des effets sportifs.
Le ou les investisseurs décideront de l'avenir de Peter Bosz à Lyon
Sur l'avenir de Peter #Bosz, JM #Aulas ne confirme pas officiellement son maintien en poste qu'il avait évoqué auparavant mais "pense que ce serait une erreur de décider de changer": "On attendra la confirmation des nouveaux partenaires".
— ⭐⭐ Julien Huët (@JulienHuet) May 11, 2022
Confirmant que le ou les investisseurs qui remplaceront Pathé et IDG Capital seront connus d’ici deux à trois semaines, Jean-Michel Aulas a d’abord fait savoir qu’il souhaitait rester le patron de l’Olympique Lyonnais, mais que ces derniers auront leur mot à dire pour savoir si Peter Bosz sera confirmé comme entraîneur. « Je pense que ce serait une erreur de changer. Maintenant, on attendra la confirmation avec les nouveaux partenaires, mais il n’y a pas de raison de changer des choses définies (…) Il y aura au moins et peut-être même deux. On pense à des partenaires actifs qui peuvent être financiers ou industriels », a indiqué Jean-Michel Aulas, qui ne veut pas s'engager sans savoir ce que pensent ses futurs partenaires.