Pathé et IDG ont décidé de vendre leurs parts dans l'Olympique Lyonnais et cela pourrait se concrétiser rapidement. Jean-Michel Aulas a quatre noms sur son bureau.
Le football français semble attirer les investisseurs, puisque l’on a appris cette semaine qu’Angers allait probablement être cédé pour 80 millions d’euros à un investisseur américain, tout comme l’AS Saint-Etienne dont le prix de cession pourrait atteindre 100 millions d’euros en cas de maintien en Ligue 1. Du côté de l’Olympique Lyonnais, nous n’en sommes pas là, puisque Jean-Michel Aulas n’a pas l’intention de céder le pouvoir, le dirigeant de 73 ans voulant continuer à assurer la gestion du club qu’il a mené au sommet du football français. Cependant, le patron de l’OL a reconnu récemment qu’il avait été surpris lorsque Pathé et IDG Capital, qui détiennent à eux deux un peu plus de 39% d’OL Groupe, ont annoncé qu’ils vendaient leurs parts. Chargée par ces deux actionnaires majeurs de trouver des repreneurs, la banque Raine a donc travaillé sur ce dossier et à priori cette banque d’affaires internationale, basée aux Etats-Unis, a transmis le fruit de son travail à Jean-Michel Aulas.
L'Olympique Lyonnais bientôt avec des investisseurs américains ?
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Au moment où l’Olympique Lyonnais réfléchit à la saison prochaine, sans ticket européen, le président de l’OL aurait des offres et des noms annonce le quotidien sportif. « Après avoir cherché de son côté, en vain a priori, le président lyonnais serait face à quatre propositions issues de la banque Raine, qui avait été mandatée par les deux vendeurs. Des propositions qui seraient majoritairement américaines, et qu'il va étudier de près pour évaluer, évidemment, la manière dont il pourrait demeurer l'actionnaire principal », explique L’Equipe, qui ne dévoile pas le nom des quatre candidats au rachat de ces près de 40% d'OL Groupe. Le suspense va durer un peu, même si lors du bilan de fin de saison Jean-Michel Aulas avait indiqué qu'une réponse pouvait intervenir avant même la fin du mois de mai. Grâce à l'apport financier du contrat signé par la LFP avec CVC, la mariée lyonnaise est très belle, reste à savoir jusqu'où le président de l'Olympique Lyonnais est prêt à faire de la place à ces investisseurs.