Oubliées les polémiques après le derby, les menaces de grève pour des raisons financières, Jean-Michel Aulas avait le sourire des grands jours ce mardi au moment de poser la première pierre du futur stade des Lumières, où l’Olympique Lyonnais s’installera dans deux ans. Au moment d’évoquer ce dossier qui lui tient énormément à coeur, le président de l’OL a répété que son but avec ce stade était d’installer le club rhodanien parmi le haut du tableau en Europe, grâce notamment à un gros retour sur investissement.
« Ce projet collectif va servir à tous les acteurs de la région et va permettre le rayonnement et le dynamisme. Notre projet va contribuer à la collectivité et à l’activité, avec une forte dimension sociale. C’est l’outil le plus abouti et exemplaire par son statut et son financement. Le Grand Stade va permettre à l’OL de s’inscrire dans un nouveau football. Le club vise à avoir une place pérenne dans le Top 8 européen. Le parc sera ouvert 365 jours sur 365 jours, avec des activités toute l’année. Nous sommes fiers d’avoir tenu bon dans un contexte difficile », s’est notamment réjoui Jean-Michel Aulas devant un parterre d’élus et de personnalités régionales.