Botafogo, qui appartient comme l’OL à l’homme d’affaires américain John Textor, s’apprête à construire un centre d’entraînement flambant neuf qui sera en partie financé… par le club lyonnais.
Les supporters de l’Olympique Lyonnais n’ont pas fini d’être surpris par John Textor et par les spécificités de la multipropriété de clubs. Avec l’homme d’affaires américain, c’est un businessman aux commandes de plusieurs clubs qui dirige l’OL et cela réserve forcément son lot de surprises. En ce qui concerne John Textor, l’Américain possède également Botafogo, Molenbeek et des parts de Crystal Palace.
L'OL va aider à financer un centre d'entraînement pour Botafogo
Une multipropriété qui peut avoir des conséquences sur le mercato avec des échanges ou des ventes de joueurs comme ce fut le cas avec Jeffinho, recruté à Lyon en provenance de Botafogo… mais pas seulement. Financièrement, de sacrées surprises sont à prévoir et la dernière en date risque de faire hurler les supporters de l’OL. A en croire les informations de Globo au Brésil, le club de Botafogo a pour projet de construire un tout nouveau centre d’entraînement.
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Celui-ci serait majoritairement payé par le club brésilien et par John Textor… mais pas uniquement. Il est prévu que l’OL participe financièrement à la construction de ce centre d’entraînement de Botafogo selon Globo, une information qui ne manquera pas de faire avaler de travers les supporters de l’Olympique Lyonnais, qui n’ont pas vraiment été habitués à ce genre d’information avec Jean-Michel Aulas aux manettes.
Les premiers effets de l'ère Textor à Lyon
Le média précise que ce centre d’entraînement pourra être utilisé par l’équipe professionnelle de Lyon en cas de stage estival ou afin de faire soigner certains joueurs sud-américains par exemple en cas de blessure. Les chiffres et la participation financière de l’OL dans ce projet n’ont pas encore été dévoilés mais nul doute que cette information ne manquera pas de surprendre et démontre que la multipropriété de clubs nous réserve des surprises dont certaines sont encore sans doute secrètes. Les premiers effets de l’ère John Textor se font déjà sentir…