Désireux d’avoir un renfort dans toutes les lignes, Peter Bosz n’a pas obtenu gain de cause puisqu’il lui manque toujours un attaquant.
Non seulement aucun joueur capable d’évoluer en pointe pour faire oublier Memphis Depay n’a signé, mais bien évidemment sa cible numéro 1 à ce poste n’a pas pu rejoindre l’OL. Il s’agissait de Sardar Azmoun, l’avant-centre de l’équipe nationale d’Iran, et qui évolue au Zénith Saint-Pétersbourg. A 26 ans, l’attaquant découvert au Rubin Kazan a tapé dans l’oeil de Peter Bosz depuis des années déjà. L’entraineur lyonnais avait ainsi demandé à ses dirigeants de lui faire ce cadeau, mais le club russe n’a rien voulu savoir. Présent avec sa sélection, Sardar Azmoun a évoqué les derniers jours du marché des transferts et son avenir. Dans des propos rapportés par Persian Football, l’attaquant iranien a bien fait comprendre que clubs qui voulaient l’avoir n’avaient eu aucune chance.
Azmoun prévient qu'il sera libre dans un an
🗣️ Sardar Azmoun clarifies his transfer saga.
— Persian Soccer (@PersianFutbol) September 2, 2021
"I have a contract. Even if I wanted to leave, Zenit can prevent me & there is nothing I can do. I had offers from Tottenham, Lyon, Bayer Leverkusen & Roma but they rejected them. If I leave, it will be this summer as a free agent." pic.twitter.com/8671h5sY8M
« J’ai un contrat. Même si je voulais partir, le Zenit peut m’en empêcher et il n’y a rien que je puisse faire contre ça. J’ai eu des offres de Tottenham, Lyon, Bayer Leverkusen et de la Roma mais ils les ont rejetées. Si je pars, ça ne sera que l’été prochain et en tant qu’agent libre », a prévenu l’attaquant qui est sous contrat avec le Zénith jusqu’en juin 2022. L’OL et les autres sont prévenus. Si Jean-Michel Aulas a laissé entendre qu’il pourrait y avoir du mouvement en attaque l’hiver prochain, cela risque pas de concerner Sardar Azmoun, qu’il sera très difficile de déloger du club de la cité des Tsars. A moins que le Zénith ne lui trouve un remplaçant et consente à le laisser partir, mais l’OL a de grandes chances de devoir regarder ailleurs pour se renforcer en attaque au mois de janvier.