Laurent Blanc c'est fini, c'est finalement Fabio Grosso qui prend les commandes, après une semaine agitée qui a vu l'OL et surtout John Textor partir dans tous les sens.
C’est jour de match pour l’Olympique Lyonnais ce dimanche, et cela ne fera pas de mal aux supporters, même si ces derniers ne veulent pas voir le nom de leur équipe encore à la dernière place à l’issue de cette 5e journée. La crainte de vivre un nouveau fiasco après Montpellier et le Paris SG est réelle, même si Le Havre n’est pas un ogre de Ligue 1. Mais l’arrivée d’un nouvel entraîneur, en la personne de Fabio Grosso, qui ne sera en place qu’à partir de la semaine prochaine, redonne forcément de l’espoir. Laurent Blanc est parti, et John Textor a connu une semaine mouvementée pour trouver le bon technicien. Le Progrès se penche sur ces quelques jours de brouillard, où le propriétaire américain a tiré dans tous les sens pour essayer de trouver l’entraineur capable de redresser l’OL.
Des noms et aucune logique chez Textor
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Et c’est justement le fait que des négociations ou des discussions ont été annoncées avec des techniciens au profil complètement différents qui inquiète le journal régional. « Elle s’est poursuivie avec une cacophonie grotesque émanant d’une direction dégainant à tout va pour chercher un entraîneur, avec une litanie de noms lâchée sur la place publique, notamment Gattuso, Beye, Glasner. Et se rapportant à des hommes avec des profils n’ayant rien en commun. Cette politique de l’emporte-pièce s’est heureusement terminée vendredi par une information apparemment plutôt rassurante », explique Le Progrès, qui ne comprend pas comment l’OL a pu passer de Gennaro Gattuso à Habib Beye, deux entraineurs au profil, à l’expérience et aux principes, totalement différents. Il faut croire qu’il y avait urgence, voire panique en la demeure. Mais comme l’explique le journal local, cela s’est plutôt bien terminé avec la nomination d’un technicien comme Fabio Grosso qui fait l’unanimité, qui incarne tout de même une partie de l’histoire du club, et qui a l’air de savoir où il va avec ses adjoints.