John Textor n'a pas fermé la porte à un départ de Bradley Barcola au PSG, mais le patron de Lyon attend d'avoir une offre satisfaisante et cela peut se jouer dans les derniers instants du mercato.
Dans quelle équipe jouera Bradley Barcola dimanche soir au moment où l’Olympique Lyonnais recevra le Paris Saint-Germain pour le compte de la 4e journée de Ligue 1 ? A moins de 60 heures de la fin du marché des transferts, le jeune prodige offensif de l’OL est toujours à l’entraînement du côté de Lyon, et il n’a pas l’intention d’imiter Randal Kolo Muani en allant au clash avec ses dirigeants. John Textor a, lui, fait savoir que Bradley Barcola ne lui avait pas demandé de bon de sortie, mais qu’il ne fermait pas la porte à un transfert. Et alors que la deadline se rapproche, Ben Jacobs, journaliste anglais spécialiste du football et du mercato, affirme que Lyon et Paris se préparent à une opération rapide et positive, même si Chelsea rôde toujours dans les parages.
Barcola au PSG, c'est la nouvelle politique de Paris
Bradley Barcola wants the move to PSG. Negotiations with Lyon could go down to the wire, but French champions are pushing to get it done. 20-year-old fits PSG's 'buy young, buy French' strategy.🇫🇷 pic.twitter.com/KnQNCMuMFr
— Ben Jacobs (@JacobsBen) August 30, 2023
Pour Ben Jacobs, Bradley Barcola est le joueur idéal pour coller à la nouvelle politique sportive du Paris Saint-Germain et cela motive Luis Campos à réussir l’opération. « Bradley Barcola souhaite rejoindre le PSG. Les négociations avec Lyon pourraient se jouer jusqu'au bout, mais les champions de France font pression pour parvenir à un accord. Le joueur de 20 ans correspond à la stratégie du PSG : acheter jeune, acheter français », explique le journaliste, visiblement persuadé et confiant concernant un accord final pour la signature du jeune joueur de 20 ans à Paris. Une opération qui pourrait tout de même faire le bonheur de John Textor, au moins sur le plan financier puisque l'on évoque une opération à plusieurs dizaines de millions d'euros. De quoi atténuer son désespoir de voir partir un des grands espoirs formés par l'OL de son ami Jean-Michel Aulas.