A Nice, Frédéric Antonetti réclame rapidement des installations dignes de son club.
Le coach niçois commence à en avoir assez que son club travaille dans des conditions délicates et évolue dans un stade plus vraiment aux goûts du jour. Frédéric Antonetti en appelle donc à la municipalité niçoise. « Nice est la cinquième ville de France mais, au niveau des infrastructures, on a quarante ans de retard à rattraper. Pas de stade et de centre d’entraînement dignes de ce nom. Si on reste en Ligue 1, on sera l’an prochain le seul club dans ce cas puisque Le Mans, Valenciennes et d’autres ont des projets concrets. Nous, on bricole et on est obligés de vendre chaque saison une moitié d’équipe pour s’en sortir alors qu’on pourrait attirer 25 ou 30 000 spectateurs de moyenne dans une arène adaptée. Ça devient de plus en plus difficile à accepter. Depuis un moment, j’entends plein de beaux discours. Mais maintenant il ne faut plus le dire, il faut le faire », prévient l’entraîneur du Gym.