Le départ de Sergio Conceiçao a mis Waldemar Kita sous pression lors de ce mercato, alors que le président du FC Nantes semblait devoir passer un été tranquille concernant son entraîneur après la prolongation de contrat du coach portugais. Mais après l’énorme coup de théâtre qu’a été le départ de Conceiçao au FC Porto, Kita doit trouver rapidement un technicien. Et si plusieurs pistes sont évoquées, le dirigeants nantais veut prendre son temps.
« Cela fait une semaine que je suis à sa recherche. J'avance, je recule. Cela prend du temps. Comme pour beaucoup de clubs. Mais on a réduit la liste de quarante noms à deux ou trois (…) Français ou étranger ? Je n'ai pas de préférence. Il pourra être français ou étranger. Le plus important, c'est qu'il s'agisse de quelqu'un qui corresponde à ce que je souhaite et qui nous permette de rester sur une certaine continuité. Bien sûr que Claude Puel m'intéresse. Mais ce n'est pas la peine de se pencher sur ce dossier. Il est toujours sous contrat et, en même temps, je ne veux pas le mettre en difficulté. Je ne connais pas le problème avec son club. Si ce n'est pas possible aujourd'hui, ce n'est pas possible. Peut-être dans une semaine, un mois, je ne sais pas, explique, dans L’Equipe, Waldemar Kita, qui tempère les contacts évoqués avec Claudio Ranieri. C’est possible. Mais cela dépendra de beaucoup de choses. Disons les choses comme elles sont: il faut que l’on soit d’accord. Or les discussions n’ont pas encore commencé. On n’habite pas dans la même ville. »