Le président de Nantes pense que la haine qui entoure le club pourrait provoquer un drame.
Cible des chants et des insultes de plusieurs dizaines de supporters nantais, samedi soir à Caen, le président du FCN est inquiet pour sa sécurité depuis que le centre d’entraînement du club a été la cible de vandales. « Je ne baisserai pas les bras. Si je serais là jusqu’au mois de mai ? Oui, à moins que quelqu’un ne prenne un flingue et me tue. Mais ça peut arriver. On est inconscient de ce qui se passe depuis plusieurs mois. Ces gens-là sont tellement agressifs que ça peut aller beaucoup plus loin. Ça ne donne pas envie de continuer à agir, à investir… », explique Waldemar Kita dans Le Parisien.