Comme ses collègues entraîneurs de Ligue 1, Jean Fernandez a bien vu que Javier Pastore, après un début de saison éblouissant, était un peu dans le dur depuis quelques semaines. Cependant, avant d’aller défier le PSG dimanche au Parc des Princes, l’entraîneur de Nancy a prévenu qu’il était hors de question pour lui de faire de l’Argentin un cas à part au sein d’une formation où le danger est partout.
« On n’est pas dans cet état d’esprit. Ce qu’il faut, c’est qu’on fasse un gros match sur le plan défensif pour voir, ensuite, comment les velléités offensives peuvent se passer. Il n’y aura pas de plan anti-Pastore. Ménez est certes suspendu mais il y a Gameiro, Nenê, beaucoup de joueurs de qualité. Le plus important, c’est que nous soyons bien organisés, qu’on fasse un gros match. A ce moment-là, on pourra les inquiéter. Si on n’est pas dans un bon jour, ce sera difficile pour nous », admet Jean Fernandez, dont la formation reste sur une victoire contre Brest. Trois points qui ont permis aux Lorrains de quitter la dernière place de Ligue 1, mais pas la zone rouge.