Le président de Nancy estime que la situation inquiétante de Nancy va pouvoir s'améliorer. Il veut du moins s'en convaincre.
« L’heure est préoccupante. Il faut désormais sauver le soldat ASNL, montrer que le groupe peut réagir. Mais je reste persuadé que le vent va tourner et le soleil briller à Marcel-Picot », lançait Jacques Rousselot dans les colonnes de L’Equipe.