Alors que ses chroniques dans l’émission J+1 sont très appréciées, Julien Cazarre ne fait pas l’unanimité.
Bien évidemment, ses victimes ne prennent pas autant de plaisir que les autres spectateurs le dimanche soir. C’est notamment le cas de Jean-Michel Aulas, décrit comme un homme à femmes par l’humoriste, et qui a récemment critiqué son détracteur. Mais ce n’est rien comparé à ce que Geoffrey Jourdren a subi. Moqué avec insistance, le gardien de Nancy expliquait que Cazarre avait « brisé » sa carrière, dans un discours similaire à celui d’Ali Ahamada.
Invité sur le plateau de RMC Sport, l’ancien portier de Toulouse, également ciblé par le chroniqueur, a raconté son calvaire sur le marché des transferts. « Très honnêtement, ça a beaucoup pesé parce que maintenant je suis pas mal associé à lui, a confié le gardien actuellement sans club. Notamment quand j’avais des retours de clubs, quand j’étais en discussion avec des coachs ou des intermédiaires, c’était "ah c’est celui qui passe à Cazarre". Après tu ne peux même plus t’en détacher. »
Un enfer à l’entraînement !
D’autant que ses coéquipiers étaient aussi des fidèles spectateurs de J+1. « Quand j’arrivais à l’entraînement en semaine, que je faisais une erreur, on me disait "ah si ça Cazarre l’avait vu, il l’aurait repris directement". Après tu deviens une cible parce qu’on ne te retient plus que par ça », a regretté le Franco-Comorien, dont les boulettes ont davantage contribué à sa réputation.