Dans une fin de rencontre folle, Montpellier est passé d’une possible défaite à une victoire qui lui tendait les bras. Au final, le leader de la Ligue 1 a du se contenter du nul 2-2 après un pénalty raté dans les arrêts de jeu par Camara, et surtout au terme d’interminables arrêts de jeu en raison d’une bagarre générale sur le terrain. Après le pénalty sifflé dans le temps additionnel, les joueurs d’Evian ont perdu leurs nerfs, et l’altercation qui a suivi a notamment couté un carton rouge pour Belhanda, pris à partie par Mongongou, ce que René Girard n’a pas apprécié. L’entraineur montpelliérain a toutefois reconnu que la rencontre avait été difficile pour ses troupes, mais qu’il n’y avait pas encore d’inquiétudes à avoir dans cette course au titre.
« On a fait dans l'à-peu-près pendant les deux périodes, et on a montré que l'on avait des ressources pour revenir. C'est un match que l'on n'a pas bien négocié dans le jeu. On se crée des occasions, on a des possibilités, mais on est à mon goût trop souvent en danger. On n'a pas pris ce match par le bon bout. Je retiens le nul même si la victoire s'échappe à la fin avec ce penalty que l'on ne met pas. Il y a encore du temps, il y a encore trois matches, il n'y a pas le feu. On a trop laissé Evian jouer, on a trop reculé, laissant notre liberté au milieu. On n'a pas fait les gestes justes. On a laissé beaucoup d'énergie, car on a eu de bons et moins bons passages. Toutefois, je retiens que les joueurs ont eu les ressources pour égaliser. Je regrette le comportement de Mongongu, qui doit être cité. Le match a dégénéré, car ils l'ont fait dégénérer. On a manqué un peu d'expérience sur la fin de match. Il y avait de la déception dans le vestiaire, car le scénario est cruel. Mais il reste trois matches. Il n'y a rien de dramatique, même si c'était idéal de prendre les trois points », a estimé René Girard, qui va devoir faire sans son meneur de jeu, probablement jusqu’à la fin de la saison, en raison de son inévitable suspension.
Montpellier accuse Evian d’avoir fait « dégénérer » le match
Dans une fin de rencontre folle, Montpellier est passé d’une possible défaite à une victoire qui lui tendait les bras. Au final, le leader de la Ligue 1 a du se contenter du nul après un pénalty raté dans les arrêts de jeu par Camara, et surtout au terme d’interminables arrêts de jeu en raison d’une bagarre générale sur le terrain. Après le pénalty sifflé dans le temps additionnel, les joueurs d’Evian ont perdu leurs nerfs, et l’altercation qui a suivi a notamment couté un carton rouge pour Belhanda, pris à partie par Mongongou, ce que René Girard n’a pas apprécié. L’entraineur montpelliérain a toutefois reconnu que la rencontre avait été difficile pour ses troupes, mais qu’il n’y avait pas encore d’inquiétudes à avoir dans cette course au titre.
« On a fait dans l'à-peu-près pendant les deux périodes, et on a montré que l'on avait des ressources pour revenir. C'est un match que l'on n'a pas bien négocié dans le jeu. On se crée des occasions, on a des possibilités, mais on est à mon goût trop souvent en danger. On n'a pas pris ce match par le bon bout. Je retiens le nul même si la victoire s'échappe à la fin avec ce penalty que l'on ne met pas. Il y a encore du temps, il y a encore trois matches, il n'y a pas le feu. On a trop laissé Evian jouer, on a trop reculé, laissant notre liberté au milieu. On n'a pas fait les gestes justes. On a laissé beaucoup d'énergie, car on a eu de bons et moins bons passages. Toutefois, je retiens que les joueurs ont eu les ressources pour égaliser. Je regrette le comportement de Mongongu, qui doit être cité. Le match a dégénéré, car ils l'ont fait dégénérer. On a manqué un peu d'expérience sur la fin de match. Il y avait de la déception dans le vestiaire, car le scénario est cruel. Mais il reste trois matches. Il n'y a rien de dramatique, même si c'était idéal de prendre les trois points », a reconnu René Girard, qui va devoir faire sans son meneur de jeu, probablement jusqu’à la fin de la saison, en raison de son inévitable suspension.