Jean-Michel Aulas l’a clairement mauvaise, et cela date d’avant l’officialisation de la décision de la commission de discipline de donner le match entre Metz et Lyon à jouer.
Le président lyonnais n’avait pas caché qu’il estimait que son équipe devait avoir match gagné sur tapis vert en raison des incidents subis et notamment des projectiles et pétards reçus par son gardien Anthony Lopes. Mais le dirigeant rhodanien semblait surtout en vouloir au groupe L’Equipe, dont la chaine télé avait expliqué, via l’un de ses consultants, que le match devait être rejoué pour l’équité du championnat. Ce à quoi Aulas a répondu en criant clairement au complot.
« Comme d’habitude, L’Equipe 21 dicte sa loi à la commission de discipline ! Tout le mal que nous aura fait L’Equipe », a dénoncé un Jean-Michel Aulas qui ne cache plus à quel point il est excédé par les articles du quotidien sportif visant selon lui à déstabiliser l’institution.