Les rumeurs de la vente de l'Olympique de Marseille commencent à se calmer, mais chaque petit bruit sur ce sujet provoque de l'énervement. Pour répondre à ceux qui l'ont invectivé, Jacques Bayle, consultant sur l'OM, a mis vigoureusement les choses au point.
Le 30 mai dernier, alors que les bruits sur la cession de l’Olympique de Marseille au Prince Al Walid Ben Talal s’intensifiaient, Jacques Bayle, consultant pour le média phocéen Maritima, enflammait les réseaux sociaux. Très discret sur ce sujet, il confirmait que des « négociations sur la vente de l’OM étaient engagées ». Deux mois plus tard, ce message a été ressorti des archives et un supporters de Marseille lui a demandé s’il y avait des nouvelles sur ce thème. Et très vite, des insultes sont tombées, certains ayant compris de travers le message initial et s’en prenant au consultant sans ménagement.
Via une vidéo, mise en ligne ces dernières heures, Jacques Bayle a mis les choses au point. « Des gens disent que j’ai retourné ma veste. Mais j’ai juste répondu à un gars qui me disait que la vente de l’OM devait se faire et que je l’avais annoncé. Mais je n’ai jamais annoncé des choses pareilles. J’ai juste annoncé qu’il y avait des négociations, qu’il y avait des gens qui étaient intéressés par le rachat du club. Ils étaient en train de faire un organigramme, ensuite les négociations où elles en étaient, je n’en sais absolument rien. Si c’était des Saoudiens ? Oui et il y avait aussi des Russes à l’époque d’Ajroudi qui étaient prêts à racheter l’Olympique de Marseille. Aujourd’hui cela ne se fait pas, car tout simplement le président (Ndlr : McCourt) n’est pas vendeur. Il l’a dit et il l’a répété. Il est en train de faire du très très bon travail au niveau du mercato. Un point c’est tout. J’assume ce que j’ai dit, en aucun cas je ne retourne ma veste. J’ai simplement parlé de négociations, je le dis et je le répète. Jamais je n’ai parlé de vente. Des gens étaient intéressés et cela ne s’est pas fait, c’est tout », a précisé ce spécialiste de l’Olympique de Marseille, qui ne fait pas son beurre sur cette histoire.