Tensions à l’OM, les indésirables font la misère à Longoria

Tensions à l’OM, les indésirables font la misère à Longoria

Déterminé à renouveler son effectif, l’Olympique de Marseille n’hésite pas à pousser des joueurs vers la sortie. Mais tout ne se passe pas comme prévu à la Commanderie. Des indésirables s’accrochent au club phocéen et adoptent un mauvais comportement. Pas de quoi faciliter la tâche de la direction.

La sanction tombe à l’Olympique de Marseille. Déçue des résultats et de l’état d’esprit affiché la saison dernière, la direction olympienne ne souhaite plus repartir avec certains joueurs. Des éléments tels que Pau Lopez, Samuel Gigot, Chancel Mbemba et Jordan Veretout, pourtant considérés comme des cadres pendant le précédent exercice, sont subitement poussés vers la sortie. Les noms cités font partie des joueurs invités à s’entraîner à l’écart, et plus précisément avec le coach de l’équipe réserve Jean-Pierre Papin.

Mais comme on pouvait s’y attendre, ce traitement ne plait pas à tout le monde chez les principaux concernés. Si le latéral gauche Jordan Amavi adopte un comportement irréprochable, d’autres indésirables acceptent beaucoup moins leur situation. C’est surtout le cas de Chancel Mbemba qui, selon les informations de RMC, a tendance à agacer au sein du club phocéen. Le défenseur central aurait une attitude totalement opposée à l’image irréprochable qu’il renvoie. Comme d’autres Marseillais écartés, l’international congolais a également refusé des offres que l’Olympique de Marseille jugeait pourtant satisfaisantes.

La réponse des bannis à l'OM

Certains bannis ont même déchiré des propositions qui leur permettaient de doubler leur salaire. Un choix incompréhensible et surtout gênant pour les dirigeants marseillais qui comptent sur ces départs afin de poursuivre le recrutement. Mais les indésirables campent sur leurs positions et affirment que l’Olympique de Marseille doit respecter les contrats signés. Autant dire que ces joueurs non désirés ne feront rien pour satisfaire leurs supérieurs. Au contraire, cette situation tendue risque de durer des jours voire des semaines supplémentaires.