Dans les derniers jours du mercato, l’OM a vendu Maxime Lopez à Sassuolo. En manque de temps de jeu à Marseille, le minot de 22 ans revit en Italie…
D’ores et déjà indiscutable aux yeux de son entraîneur Roberto De Zerbi, l’ancien meneur de jeu de l’Olympique de Marseille a inscrit un but absolument magnifique contre Naples ce week-end. A l’instar de joueurs tels que Bouna Sarr ou Lucas Ocampos, Maxime Lopez semble monter subitement en puissance depuis son départ pour l’étranger. Et ce n’est pas un hasard selon le principal intéressé, qui a dressé sur RMC le constat de nombreux joueurs ayant quitté la Ligue 1 pour la Série A, la Premier League, la Bundesliga ou la Premier League, à savoir que l’on travaillait beaucoup plus en dehors de nos frontières.
« C’est surtout la rigueur qui est plus importante. Avec le coach Villas-Boas, j’avais l’habitude, les entraînements étaient quand même intenses et assez longs. Mais ici, en Italie, on peut arriver à 13h et rentrer chez nous à 20h. Le coach ne dit pas : « Aujourd’hui, on fait une heure et demie ». Un exercice peut durer une heure s’il n’a pas ce qu’il veut. Les Italiens ont cette rigueur dans la peau. Même en termes de leadership, on sent qu’il y a quelque chose. Ça ne fait même pas un mois que je suis ici et je le ressens. Je commence moi-même à me l’inculquer parce que c’est bien d’arriver à l’entraînement et de mettre cette rigueur. C’est vrai qu’il y a une différence par rapport à la France » a reconnu Maxime Lopez, pour qui les coachs de Ligue 1 auraient tout intérêt à monter le curseur d’un cran au niveau de l’exigence et du travail à l’entraînement. André Villas-Boas appréciera le message…