OM ‍: Veretout fait ses valises, sa femme vend la mèche

OM : Veretout fait ses valises, sa femme vend la mèche

Loin d’être le Marseillais le plus décevant la saison dernière, Jordan Veretout est pourtant poussé vers la sortie. Le milieu de l’Olympique de Marseille a été invité à s’entraîner avec l’équipe réserve. Sans doute agacé par la situation, l’ancien Nantais pourrait rapidement partir si l’on en croit une récente publication de sa femme.

La tension monte à l’Olympique de Marseille. Afin de renouveler l’effectif en échec la saison dernière, le président Pablo Longoria souhaite enregistrer de nombreuses arrivées, mais aussi des départs importants. Certains joueurs sont donc poussés vers la sortie cet été. Pau Lopez, Chancel Mbemba, Samuel Gigot, Jordan Veretout… Tous ces cadres ont été invités à s’entraîner avec l’équipe réserve dirigée par Jean-Pierre Papin. Et sans surprise, la situation ne plaît pas à tout le monde à la Commanderie.

Veretout proche de la sortie ?

Nos confrères de RMC révélaient la position ferme de certains indésirables qui auraient refusé des offres salariales alléchantes. Leurs entourages respectifs estiment que l’Olympique de Marseille doit tout simplement respecter les contrats signés. Pas sûr que Jordan Veretout fasse partie de ces rebelles. Car de son côté, si l’on en croit une récente publication de sa femme sur les réseaux sociaux, le milieu de terrain se prépare à quitter la cité phocéenne. Sabrina Veretout, en pleine organisation d’un anniversaire surprise, a en effet ajouté « tu me manqueras » dans un message apparemment destiné à une amie.

Il pourrait s’agir d’un au revoir avant le départ de la famille. L’interprétation reste évidemment à prendre avec précaution dans la mesure où l’ancien joueur de l’AS Saint-Etienne ne fait l’objet d’aucune rumeur de transfert imminent. Le Marseillais sous contrat jusqu’en 2025, avec une année supplémentaire en option, aurait des touches dans le Golfe. Mais les 15 millions d’euros réclamés pour son départ ont de quoi refroidir ses courtisans.