Eloigné des terrains depuis plus de sept mois, Valentin Rongier n’est pas près de retrouver la compétition. Le milieu de l’Olympique de Marseille devrait encore s’entraîner à part à la reprise début juillet. Son indisponibilité aurait pu inciter la direction à s’en débarrasser. Mais la confiance du futur entraîneur Roberto De Zerbi protège le capitaine.
Alors que l’Olympique de Marseille reprendra l’entraînement le 1er juillet, Valentin Rongier n’est pas certain d’y participer. Le milieu de terrain a encore des doutes quant à sa capacité à s’entraîner avec ses coéquipiers. Blessé lors du match face à Lille (0-0) le 4 novembre dernier, l’ancien joueur du FC Nantes avait été opéré d’une fracture de la rotule. Son retour était alors espéré en janvier. Mais sept mois plus tard, le capitaine marseillais n’a toujours pas repris la compétition.
Valentin Rongier sera-t-il de retour à l'entraînement pour la reprise ? 👉 https://t.co/AAeKhaF0FT pic.twitter.com/HDp3kyZ0Uo
— La Provence OM (@OMLaProvence) June 22, 2024
Valentin Rongier a connu pas mal de complications, à commencer par une vis qui gênait son articulation et qui avait nécessité une deuxième opération. Puis le milieu de terrain avait souffert d’une inflammation du tendon rotulien. Une blessure qui menace encore sa réintégration. L’Olympique de Marseille espère que Valentin Rongier sera en mesure de participer aux entraînements collectifs à la reprise. Mais de réels doutes existent quant à l’état de son genou, prévient le quotidien régional La Provence.
De Zerbi compte sur Rongier
Au courant de sa situation, le futur entraîneur Roberto De Zerbi s’inquiète pour son joueur qu’il compte bien utiliser la saison prochaine. Le probable successeur de Jean-Louis Gasset considère que Valentin Rongier fait partie de ses plans. L’Italien serait même impatient de le compter parmi ses éléments disponibles. Le capitaine olympien ne fera donc pas partie des joueurs poussés vers la sortie. Une tendance rassurante pour le Marseillais sous contrat jusqu’en 2026, même si l’on sait qu’une offre satisfaisante peut vite changer la donne dans l’esprit du président Pablo Longoria.