Samedi, l’Olympique de Marseille a repris sa marche en avant face au Nîmes Olympique dans un Stade Vélodrome bien rempli (2-1).
Non sans mal, vu que Bouna Sarr a eu très chaud dans le temps additionnel. Touché par Bouanga dans sa surface, le latéral droit amplifiait sa chute avant de prendre le ballon avec ses mains. Une action que Monsieur Schneider décidait de sanctionner avec un penalty à la dernière seconde de jeu. Mais après visionnage de la VAR, l’arbitre de la rencontre revenait sur sa décision en sifflant un coup-franc pour le Marseillais. Même si son geste était stupide, Sarr a finalement préféré en rire, sachant que le club phocéen est sorti du terrain avec les trois points.
« Il y a ce contact, je me laisse tomber, avec de la nonchalance, je prends le ballon avec les mains. À ce moment-là, je sais qu’il y a faute. Mais tout le monde se regarde, l’arbitre met le sifflet à la bouche et siffle penalty. Il y a de la confusion. J’avais peur que l'arbitre ne prenne pas en compte que le Nîmois Bouanga m'avait touché mais, heureusement, il y avait le VAR. Je me suis beaucoup fait chambrer dans le vestiaire. Mais on a gagné, c’était le plus important », détaille, sur Le Phocéen, le défenseur de 27 ans, qui a bien failli plomber la fin de saison de son club. À lui de réagir lors des prochaines journées, lors desquelles il essayera d’amener l’OM sur le podium de la L1, désormais situé à cinq longueurs.