OM ‍: Rongier a demandé à Rennes de le recruter

OM : Rongier a demandé à Rennes de le recruter

Recalé par l’Olympique de Marseille et son entraîneur Roberto De Zerbi, le Stade Rennais s’intéressait déjà à Valentin Rongier l’été dernier. A ce moment, c’est l’entourage du milieu de terrain qui avait fait le premier pas vers le club breton. Mais sa situation a bien changé depuis quelques mois.

En plus de Seko Fofana, qui a fait ses débuts lors du déplacement à Nice (défaite 3-2) vendredi, Rennes souhaitait obtenir la signature de Valentin Rongier. Le directeur sportif Frederic Massara a contacté son homologue de l’Olympique de Marseille Medhi Benatia pour connaître la disponibilité du milieu de terrain. L’ancien joueur du FC Nantes étant sous contrat jusqu’en 2026, le club phocéen aurait pu envisager un transfert. Mais la direction olympienne a immédiatement fermé la porte afin de respecter la volonté de Roberto De Zerbi.

« Quand le coach donne son avis, cela fait souvent office de décision », a expliqué une source proche de l’Olympique de Marseille à La Provence. C’est effectivement l’Italien qui s’est catégoriquement opposé au départ de Valentin Rongier, d’où sa réponse sèche en conférence de presse vendredi. « Non, ils vont devoir chercher un autre joueur parce que Rongier ne bougera pas », a lâché l’entraîneur marseillais. De toute façon, le milieu défensif n’a pas l’intention de partir cet hiver. Et ce malgré son initiative prise l’été dernier.

Rennes le lâchera pas Rongier

D’après le quotidien régional, son entourage avait provoqué l’intérêt du Stade Rennais en proposant ses services pendant le mercato estival. A ce moment, Valentin Rongier, qui revenait après une longue absence, doutait de son avenir à l’Olympique de Marseille. Rien n’indiquait clairement que Roberto De Zerbi comptait sur lui. Mais l’infatigable récupérateur a fini par séduire le technicien. Pas de quoi refroidir les Rouge et Noir qui envisagent de revenir à la charge l’été prochain, lorsqu’il se retrouvera à un an de la fin de son contrat. Du moins si les dirigeants phocéens ne réagissent pas d’ici là.