Après la lourde défaite de l’Olympique de Marseille sur la pelouse de l’AJ Auxerre (3-0), la direction phocéenne est sortie de ses gonds et crie à la corruption du corps arbitral français. Fabrizio Ravanelli a aussi lâché les chevaux après la rencontre. Des propos qui font bien rire Éric Rabesandratana.
Avant même le coup d’envoi de la rencontre entre l’AJ Auxerre et l’Olympique de Marseille, le climat était déjà très tendu. Les deux formations ont mené une première bataille hors des terrains. Les dirigeants auxerrois n’ont pas apprécié la pression mise par leurs homologues marseillais sur l’arbitre de la rencontre, M. Stinat, lequel avait été au cœur de l’affaire Létang-Benatia. C’est dans ce contexte que l’OM s’est lourdement incliné 3 buts à 0 face à l’AJA. Un match marqué par des décisions arbitrales qui ont fait bondir Pablo Longoria hors de son siège. À la fin de la rencontre, Fabrizio Ravanelli s’est présenté aux journalistes pour faire part de son indignation. Ses propos ont eu au moins l’occasion de faire réagir Éric Rabesandratana. De quoi rappeler de vieux souvenirs.
« Quelle blague »
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— eric rabesandratana 🌟❤️💙🌟 (@ERabesandratana) February 23, 2025
À la fin de la défaite de Marseille, Fabrizio Ravanelli, conseiller sportif et institutionnel de l’OM, a déclaré aux journalistes être particulièrement agacé par le traitement de son club. « L’arbitrage était honteux. C’était quelque chose d’horrible. En 40 ans, je n’ai jamais vu un arbitrage comme ça. C’est pour pour trouver des justifications. Mais même pour le football, on ne veut pas un désavantage, on veut un arbitrage équitable », a lancé l’ancien joueur marseillais. Pour rappel, les hommes de Roberto De Zerbi ont fini le match à 10 suite à une expulsion controversée et ont réclamé un pénalty sur Quentin Merlin qu’ils n’ont jamais obtenu.
Une sortie médiatique qui a fait glousser Éric Rabesandratana. « Quelle blague », a lancé l’ancien joueur du Paris Saint-Germain sur X en ajoutant quelques émojis plutôt expressifs. L’ex-défenseur du PSG et Ravanelli ont une histoire commune. Lors d'un Classique en 1997-1998, le natif d’Épinay-sur-Seine était au marquage de l’attaquant marseillais, lequel avait obtenu l’un des pénaltys les plus contestés de l’histoire de la Ligue 1 pour un croche-patte invisible à l'oeil nu. En tout cas, les dirigeants de l’OM font couler beaucoup d’encre après la défaite de leur équipe.