En se passant de Milik au coup d’envoi du match entre l’OM et Metz dimanche, Jorge Sampaoli a provoqué une grosse polémique.
Auteur d’un but aussi splendide que décisif contre les Grenats dimanche soir (1-2), Arkadiusz Milik a lancé un message clair à son entraîneur à l’issue de la rencontre. « Il y a des choses que je ne comprends pas mais je fais mon travail » a lancé Milik au micro de Prime Video afin de manifester son incompréhension devant les choix de Jorge Sampaoli à l’Olympique de Marseille. Auteur d’un triplé contre Angers il y a une semaine, le Polonais était en confiance et le voir sur le banc contre Metz a surpris tout le monde. Pierre Ménès fait partie des nombreux observateurs à ne plus comprendre les décisions d’un Jorge Sampaoli qu’il soupçonne d’avoir Arkadiusz Milik dans le viseur…
Pierre Ménès dézingue la gestion du cas Milik
🚲 @arekmilik9 did a madness and not one of the three defenders ever stood a chance 💥👀pic.twitter.com/wbAQUFdDRY
— Olympique de Marseille 🇬🇧 🇺🇸 (@OM_English) February 13, 2022
« Le mec il a mis un joli but et c’est le meilleur. Je ne sais pas. Est-il est meilleur qu’Ajorque ? Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c’est qu’il a largement le niveau pour être titulaire à l’OM. On a l’impression que Sampaoli fait tout pour ne pas aligner Milik d’entrée. Tu sens quand même qu’il ne fait pas partie de ses petits papiers. Pour moi, un mec qui marque des buts à sa place dans toutes les équipes. Et quand je dis cela, ne me parlez pas d’Icardi. Lui, il ne marque pas de buts. Moi je préfère Bakambu – Milik que Bakambu – Dieng. Dieng on voit bien qu’il n’est pas fini, il tire tout le temps, il ne fait pas de passe. Mais au-delà de l’histoire Milik, il y a des choix tactiques bizarres. Mais les plus grands supporters de l’OM ne comprennent rien à ce que veut faire Sampaoli. J’ai envie de dire que c’est même assez miraculeux que son équipe soit deuxième du classement » a lancé Pierre Ménès, déjà critique avec Jorge Sampaoli après la défaite contre Metz et qui en a remis une couche en critiquant la gestion de l’Argentin avec Arkadiusz Milik.