Dans une semaine, l'Olympique de Marseille recevra le Paris Saint-Germain au Vélodrome. Et pour l'OM, il y a toujours le rêve de faire tomber le PSG à domicile. Robert Pires y croit.
Depuis la victoire restée célèbre de septembre 2020 au Parc des Princes, dans un climat très tendu, l’Olympique de Marseille est un peu moins stressé au moment de croiser la route du Paris Saint-Germain, même si depuis ce succès à Paris le PSG a battu deux fois l’OM (Ligue 1 et Trophée des champions 2020). Mais quoi qu’il en soit, c’est toujours avec impatience que les supporters marseillais attendent la venue des stars parisiennes au Vélodrome, et on l’a encore vu cette semaine, les dernières places en vente pour ce Marseille-Paris s’arrachant comme des petits pains. Face à l’équipe de Mauricio Pochettino, capable du meilleur comme du pire cette saison, le onze de Jorge Sampaoli, qui est également susceptible de pratiquer un superbe jeu, ou de se planter, a des atouts dans les mains. Et c’est ce que dit Robert Pires dans la Provence. Invité cette semaine à participer au match des héros, dans un Vélodrome ivre de plaisir de revoir les anciennes gloires de l’OM, le champion du monde 1998 est confiant pour Marseille.
Sampaoli peut booster l'OM contre le PSG
L’ancien joueur des Bleus et de l’Olympique de Marseille est bien conscient qu’avec des joueurs tels que Lionel Messi, Kylian Mbappé ou Neymar, le PSG a des atouts énormes, mais il voit bien l’OM réussir son pari. « Sur un match tout est possible, d’autant que le climat sera chaud pour les Parisiens, bien qu’ils y soient habitués. L’OM a quand même une belle carte à jouer. Tout le monde sait que le favori restera le PSG, mais Jorge Sampaoli est capable de remonter ses joueurs. Je ne parle pas de motivation, parce qu’elle y est naturellement, mais il peut amener autre chose pour rivaliser avec Paris. Sampaoli va aussi récupérer Payet et Milik, des joueurs qui peuvent donner une autre facette à l’OM (…) Pour aborder le Classico avec confiance, il faut donc négocier au mieux les rencontres contre Lorient et la Lazio », explique, dans le quotidien régional, Robert Pires,