L'an dernier, pendant le mercato, le président de l'Olympique de Marseille, jamais avare de petites phrases, avait conseillé aux supporters et aux journaliste de prendre une verveine, sentant un certain énervement gagner tout le monde au fil des jours. S'il a remballé ses boissons apaisantes, Jacques-Henri Eyraud a quand même tenu à rappeler qu'à neuf jours de la fin du marché des transferts, c'est lui qui décidait ce que l'OM devait faire d'ici le 31 août et pas les réseaux sociaux.
Dans La Provence, le président de l'Olympique de Marseille a donc lancé un avertissement clair et net. « L’institution doit toujours primer, encore plus à l’OM. Aucune pression, de Twitter aux différentes parties prenantes du monde du foot, ne doit nous détourner de notre ligne de conduite. On agit, on gère avec rigueur. Cela peut créer de la frustration, j’en ai bien conscience. Mais nous pensons tous que cette attitude payera sur le long terme », a prévenu Jacques-Henri Eyraud, qui aura tout de même du mal à calmer la folie habituelle autour du mercato de l'OM., notamment lorsque la période des transferts se termine. On est si bien ensemble....