Vendredi soir en Ligue 1, Rémy Cabella a joué un sale coup à son ancien club, l'OM. Le Lillois a planté un but mais aussi chambré les Ultras du club phocéen.
Le LOSC a fait un très gros coup vendredi soir en battant l'OM en Ligue 1. Les Dogues ont pu compter sur un bel état d'esprit collectif mais aussi sur des individualités au rendez-vous. Inspiré face à son ancien club, Rémy Cabella a marqué un but Mbappesque. Une fierté pour lui, qui n'a pas manqué de célébrer son exploit. En fin de rencontre, l'international français a même chambré le public marseillais alors qu'il était de passage au micro de Prime Video. Forcément, du côté des amoureux de l'OM, l'attitude de Cabella ne passe pas. Mohamed Henni ne dira pas le contraire.
Cabella et Mohamed Henni, le clash continue
« C’est plus Mohamed Henni, c’est Mohamed Haineux. 🗣️ »
— Actu Foot (@ActuFoot_) April 7, 2024
Quand Rémy Cabella répond au chambrage et moqueries de l’influenceur. 😅🎶pic.twitter.com/NYqJuXcu5U
Sur ses réseaux sociaux, dont X, le YouTubeur casseur de télévisions a en effet posté ces dernières heures un message virulent à l'encontre de Cabella : « Remy Cabella Remy Nabilla petite chienne tu dois des excuses au peuple marseillais on veut des excuses publiques plates et sincères tu es interdit de Marseille jusqu’à nouvel ordre ». Loin de se laisser démonter, le footballeur lui a répondu dans une vidéo sur TikTok, taclant Mohamed Henni et sa mentalité sous un fond de la musique de Jul Je fais ma vie : « Pendant que certains cassent des télés et font des brushings. C’est plus Mohamed Henni, c’est Mohamed Haineux ». Le YouTubeur devra s'y faire, Cabella est pour le moment dans le camp des vainqueurs et pourrait bien jouer la Ligue des champions la saison prochaine. L'OM va de son côté devoir limiter la casse et tout donner en Europa League. A noter que cette saison avec le LOSC, Rémy Cabella a pris part à 33 matchs toutes compétitions confondues pour 4 buts inscrits et 3 passes décisives délivrées. A 34 ans, son expérience est appréciée par son entraineur, Paulo Fonseca.