OM ‍: De Zerbi vire trois joueurs dont Jonathan Rowe ‍!

OM : De Zerbi vire trois joueurs dont Jonathan Rowe !

Roberto De Zerbi ne rigole pas dans les derniers jours du mercato. Non seulement il veut deux recrues, mais il compte sur trois départs, dont celui de l'ailier anglais Jonathan Rowe.

Chouchou des supporters marseillais depuis son but héroïque dans les arrêts de jeu à Lyon cet automne, Jonathan Rowe n’a pas réussi à confirmer sa belle forme. Tout le monde voyait pourtant tout casser à l'OM. Il y a encore quelques jours, Roberto De Zerbi confiait qu’il en demandait plus à l’ailier anglais acheté pour tout de même 17 millions d’euros cet été en provenance de Norwich, en D2 anglaise. L’ailier de 21 ans a certes un potentiel intéressant, et un profil très dribbleur qui peut faire des ravages, mais son acclimatation n’est pas convaincante. Et la sanction est désormais tombée. Si Roberto De Zerbi lui demandait encore récemment d’en faire plus, il lui demande maintenant de faire ses valises.

De Zerbi en a fini avec Rowe

L’Equipe dévoile ce samedi que trois joueurs ont été priés de vite se trouver un club, puisqu’il n’auront de toute façon plus de temps de jeu à l’OM pour la deuxième partie de saison. Il s’agit d’Amine Harit, qui a disparu depuis le match face au PSG, d’Ismaël Koné, qui se cherche un point de chute rapidement en Europe et donc de Jonathan Rowe qui voit sa cote descendre en flèche en Provence. Un peu tardivement, mais l’Olympique de Marseille a commencé à proposer l’ancien de Norwich à différents clubs européens, avec forcément des exigences qui vont être minimes pour devoir se séparer d’un joueur en 48 heures.

C’est bien évidemment l’arrivée d’Amine Gouiri, qui adore jouer sur le côté gauche où évoluait Rowe, qui a permis de faire cette bascule et d’indiquer à l’international espoirs anglais que le temps de son passage était désormais terminé. Du moins provisoirement car sauf miracle signé Pablo Longoria, dans un délai aussi court, cela risque d’être un prêt si l’OM veut vraiment se défaire absolument de son joueur, au risque sinon de très mal vendre un élément tout de même acheté pour 17 millions d’euros.