Pablo Longoria est le président le plus apprécié du Vélodrome depuis de longues années. Mais ses méthodes au mercato n'aident pas l'OM à gagner des titres et cela commence à agacer.
Il suffit de lire les réseaux sociaux, notamment celui cher à Elon Musk, pour comprendre que du côté des supporters marseillais, on commence à sérieusement s’agacer de l’attitude et surtout des choix de Marcelino. Appelé par son ami Pablo Longoria pour succéder à Igor Tudor, le technicien espagnol fait des choix qui ne sont pas toujours lisibles, le cas d’Azzedine Ounahi résumant l’incompréhension générale. Cependant, Marcelino ne peut pas porter sur ses seules épaules les performances chaotiques de l’Olympique de Marseille.
L'OM ne peut seulement s'en prendre à Marcelino
Et Pablo Longoria commence également à avoir les oreilles qui sifflent. Non pas que la popularité du président de l’OM soit brutalement moindre dans la cité phocéenne, mais quand même. A force de tout changer à chaque mercato, certains estiment que Longoria finit par dérouter les joueurs, alors que Marseille rêve toujours d’un titre. Dans La Provence, cela tousse un peu.
🗣 « 𝗠𝗲̂𝗺𝗲 𝗮̀ 𝗹’𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲 𝗯𝗼𝘂𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 » 💪
— Olympique de Marseille (@OM_Officiel) September 3, 2023
Merci la #TeamOM pour votre présence et vos encouragements lors de #FCNOM 💙 pic.twitter.com/5rPIedvgZb
Estimant que Marcelino ne peut et ne doit être considéré comme le seul responsable de cet Olympique de Marseille sur courant alternatif comme on l’a encore vu à Nantes, Tristan Rapaud pointe du doigt Pablo Longoria et certains de ses choix du mercato 2023. « Au contraire de la passivité qu'il renvoie parfois en cours de match, l'entraîneur asturien n'est en rien responsable des incessants bouleversements estivaux et du chantier gargantuesque dont il a hérité. S'il joue chaque jour contre-la-montre, l'ancien chef d'orchestre valencien n'est guère épaulé par des recrues dont on attend toujours l'apport. À l'exception de Renan Lodi et, dernièrement, Ismaïla Sarr. À tous les niveaux, y'a du boulot ... », prévient le journaliste du quotidien régional. Et quand La Provence tousse, il y a des soucis à se faire.