Arrivé l’hiver dernier en provenance de l’AC Milan sous la forme d’un prêt, Ismaël Bennacer s’est déjà largement acclimaté à l’Olympique de Marseille. En Italie, il ne fait aucun doute que la direction phocéenne lèvera l’option d’achat.
L’hiver dernier, l’Olympique de Marseille opérait de profonds changements dans son effectif. L'objectif annoncé était de faire partir le plus grand nombre possible de joueurs indésirables, lesquels seraient alors remplacés par d’autres recrues. En ce sens, Roberto De Zerbi a vu plusieurs éléments de son effectif être vendus ou prêtés. Heureusement pour lui, d’autres ont fait leur arrivée, comme Ismaël Bennacer. Le milieu de terrain algérien est arrivé en grandes pompes en provenance de l’AC Milan sous la forme d’un prêt avec une option d’achat. Rien n’a encore été officialisé à propos de la levée de cette dernière, mais la tendance est très claire du point de vue de l’Italie.
Bennacer et l’OM, ça va continuer
OM : Le vrai Bennacer arrive à Marseille https://t.co/PbGxlDemRn
— Foot01.com (@Foot01_com) March 12, 2025
Son arrivée à Marseille lui a fait un bien fou. Ismaël Bennacer a d’ailleurs été titularisé cinq fois sur six par Roberto De Zerbi, de quoi rendre heureux celui qui ne se sentait plus très bien à Milan. Depuis l’Italie, on considère en tout cas qu’il ne mettra plus les pieds en Lombardie. L’Olympique de Marseille a toutes les clés en main pour faire de Bennacer une pièce maitresse de son effectif. Encore plus si Roberto De Zerbi reste sur le banc olympien la saison prochaine. En effet, l'entraineur italien est un facteur déterminant qui pourrait accélérer le processus. Pour le conserver définitivement, la direction phocéenne devra dépenser 12 millions d’euros, sans compter les éventuels bonus accumulés, comme le rappelle Milan News.
Quant à l’AC Milan, récupérer de l’argent sur un transfert définitif d’Ismaël Bennacer serait une aubaine, car le joueur ne rentre plus du tout dans les plans d’avenir du club. Pour rappel, il avait déjà fait le forcing pour partir l’été dernier et avait finalement dû attendre le mois de janvier. Quelques mois pour laisser une image délicate de ses derniers instants en Lombardie.