Prêté sans option d’achat par Arsenal, William Saliba réalise une saison exceptionnelle à l’Olympique de Marseille.
Titulaire indiscutable aux yeux de Jorge Sampaoli, William Saliba n’est pas certain de rester à l’OM la saison prochaine. Au contraire, Pablo Longoria aura très fort à faire pour conserver l’international espoirs français, prêté sans option d’achat par Arsenal. Le président de l’Olympique de Marseille mise sur un nouveau prêt de William Saliba mais la tâche risque d’être très difficile. Plusieurs options s’offrent à Arsenal : conserver le défenseur olympien afin d’en faire un titulaire la saison prochaine en Premier League, ou vendre William Saliba au plus offrant dans le cas où Arsenal ne souhaite pas le conserver. Si le scénario n°2 est choisi, l’AC Milan pourrait être un sérieux concurrent de l’OM selon les informations du Daily Mirror, qui dévoile que le club lombard est très intéressé par le profil du défenseur de 21 ans.
L'AC Milan très intéressé par Saliba au mercato
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Pour l’heure, aucune offre n’a été transmise par les dirigeants de l’AC Milan, dont le club est en plein processus de vente. Mais lors du mercato estival, l’actuel leader de la Série A pourrait passer à l’offensive dans le but de recruter définitivement William Saliba en provenance d’Arsenal. Un coup dur pour l’Olympique de Marseille, qui voit débarquer dans ce dossier un concurrent de taille, aux moyens financiers importants et au projet sportif attractif avec une place assurée pour la prochaine édition de la Ligue des Champions. Dans ce dossier, l’étau se resserre de plus en plus pour Pablo Longoria, qui voit ses chances de conserver William Saliba se réduire au fil des semaines. En interne à Marseille, on était pourtant optimiste quant à la signature définitive du défenseur français en cas de qualification de l’OM pour la Ligue des Champions. Et pour cause, la volonté du joueur sera déterminante et il s’avère que William Saliba se sent très bien à Marseille. A six mois de la Coupe du monde au Qatar, c’est de toute évidence le plus gros argument de Pablo Longoria.