L’été dernier, les dirigeants de l’OM ont réalisé un mercato XXL en changeant la quasi-totalité de l’effectif. Après six mois, un premier bilan peut être tiré et les dirigeants olympiens sont très satisfaits.
Deuxième de Ligue 1 après 15 journées, l’Olympique de Marseille réalise un excellent début de saison pour les six premiers mois de Roberto De Zerbi à la tête du club phocéen. Malgré quelques faux pas évitables au Vélodrome contre Angers ou encore Auxerre, les coéquipiers de Mason Greenwood affichent une moyenne de deux points par match. Cet excellent rythme prouve que Pablo Longoria et Medhi Benatia ne se sont pas trompés l’été dernier au moment de rebâtir une équipe du sol au plafond. Le mercato a été très agité avec plus de dix arrivées, mais les résultats sont là. Au-delà du classement, c’est l’osmose au sein du groupe olympien qui épate les dirigeants de l’Olympique de Marseille, comme l’a confié l’un d’entre eux à La Provence.
Une alchimie parfaite dans le groupe, l'OM jubile
L'OM s'envole vers le Danemark pour se renforcer encore https://t.co/pTiXN0iqz0
— Foot01.com (@Foot01_com) December 15, 2024
« C’est une équipe qui a été façonnée sur le tas et on sent une certaine alchimie » se réjouit un dirigeant de l’OM, réagissant au départ du groupe pour le Danemark pour un stage de 48 heures, avant de poursuivre. « Ce petit séjour entre les joueurs devrait nouer des liens encore plus solides » apprécie le board olympien, qui a validé cette demande de Leonardo Balerdi, le capitaine de l’Olympique de Marseille ayant soumis à Roberto De Zerbi l’idée d’un nouveau stage après celui à Mallemot il y a quinze jours. Privé de coupe d’Europe, l’OM ne souhaite pas tomber dans une routine et a donc organisé un second stage, plus court que le premier est davantage axé sur des activités hors football afin d’entretenir la dynamique et renforcer l’esprit de groupe. Quelque chose se dégage de ce groupe et pour les dirigeants marseillais, c’est indiscutablement une belle victoire alors que les nombreux changements opérés lors du mercato auraient pu provoquer l’effet inverse.