Plus que tout autre club, l'OM peine à vendre ses indésirables du vestiaire. Jordan Amavi notamment préfère le loft d'Igor Tudor aux offres étrangères. Après le Dinamo Zagreb, le latéral gauche snobe l'Olympiakos.
Recruteur au flair avisé, Pablo Longoria est par contre un vendeur beaucoup plus médiocre. Le président de l'OM aura toutes les peines du monde à assumer l'objectif initial de ventes de joueurs, que ce soit financièrement ou même quantitativement. Il n'est pas aisé de trouver preneur pour certains gros salaires du vestiaire marseillais, surtout quand les intéressés mettent de la mauvaise volonté. Jordan Amavi est l'exemple le plus criant. Le latéral gauche a beau avoir été écarté par Igor Tudor, il n'est pas plus motivé pour autant à quitter le navire. Les entraînements à l'écart n'ont pas d'impact sur sa joie de vivre et sa motivation.
Julien Fournier veut Amavi en Grèce, sans résultat
L'ancien niçois a reçu des offres au mercato mais il les décline les unes après les autres. C'était le cas dernièrement avec le Dinamo Zagreb, pourtant fraîchement qualifié en Ligue des champions. Voici maintenant que l'Olympiakos rapplique dans le dossier. Le champion de Grèce, présent dans le groupe du FC Nantes en Ligue Europa, vise Jordan Amavi. Toutefois, selon l'Equipe, le joueur de l'OM n'est pas intéressé par cette possibilité de transfert.
🔴 Le club grec de L'Olympiakos se penche sur Jordan Amavi. 🇫🇷 🇬🇷#TeamOM | #MercatOM
— 𝐋𝐚 𝐌𝐢𝐧𝐮𝐭𝐞 𝐎𝐌 (@LaMinuteOM_) August 27, 2022
(@lequipe) pic.twitter.com/XPlgLCVkup
Cette opération est pourtant guidée par une vielle connaissance du joueur, Julien Fournier. L'ancien directeur sportif de l'OGC Nice gravite autour du club grec qu'il pourrait intégrer très prochainement. Il s'est mis dans la tête de recruter le latéral gauche qu'il connaît bien alors que le club possède déjà quatre joueurs pour le poste. Parmi ceux-ci, Konrad de la Fuente prêté cet été par...l'OM. Mais, malgré cet appel du pied d'ordre personnel, Jordan Amavi semble bien difficile à faire partir de Marseille, au grand dam des finances olympiennes et de Pablo Longoria.