Le latéral marseillais n’a pas pu s’empêcher de remarquer, qu’à l’heure où la défense olympienne étaient montré du doigt après les cinq buts encaissés dimanche à Lyon, la stratégie défensive de l’OM n’était pas clairement définie. Hormis pour Souleymane Diawara, incontournable dans l’axe dans l’esprit de Didier Deschamps, l’entraineur olympien a permuté régulièrement à tous les niveaux, ce qui ne ravit pas forcément Laurent Bonnart.
« Une défense ne dépend pas que de l’axe, elle dépend de ce qu’il y a aussi devant. La charnière centrale voit tout ce qui se passe devant mais si au milieu, le boulot n’est pas fait, c’est plus dur. On a des soucis comme cela l’an passé. S’il n’y a pas de pressing plus haut, c’est difficile pour tout le monde derrière. Il faut de la régularité dans les compositions d’équipe. Plus on change, plus c’est difficile », a expliqué l’ancien manceau. Didier Deschamps appréciera.
Le latéral marseillais n’a pas pu s’empêcher de remarquer, qu’à l’heure où la défense olympienne étaient montré du doigt après les cinq buts encaissés dimanche à Lyon, la stratégie défensive de l’OM n’était pas clairement définie. Hormis pour Souleymane Diawara, incontournable dans l’axe dans l’esprit de Didier Deschamps, l’entraineur olympien a permuté régulièrement à tous les niveaux, ce qui ne ravit pas forcément Laurent Bonnart.
« Une défense ne dépend pas que de l’axe, elle dépend de ce qu’il y a aussi devant. La charnière centrale voit tout ce qui se passe devant mais si au milieu, le boulot n’est pas fait, c’est plus dur. On a des soucis comme cela l’an passé. S’il n’y a pas de pressing plus haut, c’est difficile pour tout le monde derrière. Il faut de la régularité dans les compositions d’équipe. Plus on change, plus c’est difficile », a expliqué l’ancien manceau. Didier Deschamps appréciera.