Ciblé par l’Olympique de Marseille depuis un certain temps, Andreas Pereira ne pourra pas rejoindre la cité phocéenne cet hiver sans un départ d’Ismaël Koné ou d’Amine Harit.
Comme prévu par Pablo Longoria lors de sa conférence de presse bilan de mi-saison, l’Olympique de Marseille s’active depuis le début du mercato hivernal. Pour l’heure, seule l’arrivée de Luiz Felipe a été officialisée, mais d’autres pourraient l’être à l’avenir. Il y a toutefois des conditions à remplir qui forment de gros obstacles à la direction olympienne. Pour pouvoir recruter de nouveaux joueurs non-libres, le tandem Longoria-Benatia doit d’abord réussir à se débarrasser d'indésirables. Plusieurs d’entre eux sont cités dans des rumeurs les envoyant loin de la cité phocéenne. Cependant, rien n’est encore acté. Un état de fait qui freine drastiquement le recrutement d'Andreas Pereira, lequel est fortement suivi par l’OM depuis le 1er janvier dernier.
L’OM espère encore Andreas Pereira, mais...
Rennes et l'OM se marchent encore sur les pieds au mercato https://t.co/dbJQomNsK5
— Foot01.com (@Foot01_com) January 14, 2025
Selon des informations venues du compte X d'Adam Manseur, l'Olympique de Marseille ne peut pas plus avancer ses pions dans le dossier Andreas Pereira. En effet, Pablo Longoria et Medhi Benatia doivent d’abord trouver des portes de sortie à Ismaël Koné, lequel déçoit beaucoup au sein du club, ou à Amine Harit. Les deux joueurs ne font plus du tout partie des plans de Roberto De Zerbi, lequel préfèrerait avoir un milieu de terrain de la trempe d’Andreas Pereira. On le comprend : le Brésilien réalise une belle saison pour le moment.
Toujours selon le journaliste du FC Marseille, les dirigeants olympiens sont aujourd’hui en contact direct avec le joueur. Le seul obstacle est donc la règle du « un pour un » : pas de recrutement sans vente lors de ce mercato hivernal. Avec les sommes dépensées lors de la fenêtre estivale 2024 de transferts, il est nécessaire pour les dirigeants olympiens de trouver des fonds avant de se faire plaisir. Le risque étant logiquement de se faire sanctionner par la DNCG si les règles ne sont pas respectées.