Libre depuis le 30 juin, Alexis Sanchez n’a toujours pas trouvé de nouveau club alors que la majorité des championnats européens ont repris. L'idée d'un retour à l'OM n'est pas impossible, mais il s'éloigne chaque jour un peu plus.
Meilleur joueur et meilleur buteur de l’Olympique de Marseille en 2022-2023, Alexis Sanchez est libre comme l’air. Malgré une offre de prolongation de contrat soumise dès le mois de juin par Pablo Longoria avec une revalorisation salariale à la clé, El Nino Maravilla joue la montre. Annoncé aux quatre coins de la planète depuis le début de l’été, l’international chilien prend son mal en patience et laisse son agent gérer son avenir.
Alexis Sanchez trop gourmand pour ses courtisans ?
A en croire les informations du média Lance au Brésil, des discussions ont récemment été menées avec le Santos… mais l’optimisme n’est pas de mise dans le club formateur de Neymar quant à la potentielle signature d’Alexis Sanchez d’ici la fin du mercato. Et pour cause, le média brésilien dévoile que les demandes financières du Chilien bloquent le deal. Alexis Sanchez réclamerait un salaire d’environ 370.000 euros par mois, une somme qui correspond sans doute aux exigences du joueur en net puisque du côté de Marseille, l’ancien attaquant du FC Barcelone percevait des émoluments avoisinant les 500.000 euros bruts mensuels, soit environ 250.000 euros nets.
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Face à de telles exigences, le club brésilien de Santos ne peut pas s’aligner et devrait donc abandonner la piste Alexis Sanchez, dont la gourmandise en cette période de mercato lui vaut d’être toujours libre le 16 août alors que la majorité des championnats a repris. Un temps annoncé en Arabie Saoudite, en Turquie, en Série A ou encore en Liga et bien sûr à l’OM, l’ancien n°70 de Marseille prend son mal en patience. Mais pour combien de temps encore ? Quoi qu’il en soit, si la situation venait à s’éterniser, alors Alexis Sanchez n’aura pas d’autre choix que de faire un effort financier. Sous peine de voir tous les clubs jeter l’éponge les uns après les autres et de se retrouver le bec dans l’eau au mois de septembre.