Michel Seydoux avait fixé la fin de son mandat de président de Lille à 2012, mais il reconnaît que la perspective de voir enfin le nouveau stade se profiler allait l’inciter à rester un peu plus longtemps que prévu.
« J'avais dit dix ans, ce sera en 2012. Il faut savoir se donner des limites. Mais, je tricherai un peu dans la longueur. Etre là, juste pour couper le ruban du Grand Stade, ce serait frustrant. Je veux être là un peu après pour apprécier le confort que j'aurai attendu longtemps », a prévenu le président lillois.