Dans n’importe quel club avoir comme adjoint un ancien sélectionneur et entraîneur champion de France, inquièterait le coach en place. Le RC Lens n’est donc pas un club comme les autres puisque Jean-Guy Wallemme en a assez que la presse l’estime en mauvaise position et sous la pression de son adjoint Jacques Santini.
« C’est surtout un choix de ma part, mais je comprends que beaucoup de gens se posent la question. Cuperly était sur le départ, j’ai d’ailleurs rendu hommage à son travail, je voulais un adjoint expérimenté. Je ne suis pas parano. Et si un jour il doit prendre ma place, qu’il soit à 1.000 km ou à côté de moi, c’est pareil. Je sais que Jacques est quelqu’un de confiance, honnête. Moi, je suis jeune entraîneur, j’estime avoir une marge de progression. Nos rôles sont bien définis et c’est moi qui décide ! », a clarifié dans les colonnes de l’Est Républicain, Jean-Guy Wallemme qui espère démonter cette saison la compètence de son duo avec Jacques Santini.