En cette fin de semaine, le très expérimenté gardien de but du RC Lens, qui touche à la fin de sa carrière avec le club artésien après des passages à Toulouse, Rennes ou Paris, a subitement retrouvé la Une de l’actualité. Le dernier rempart du RCL s’est en effet retrouvé au commissariat de police à Paris, où il a été placé en garde à vue pour des faits de violences conjugales. La police aurait en effet retrouvé la personne qui l’accompagnait « nue et ensanglantée », alors que Douchez aurait essayé de « lui casser la tête ».
La garde à vue s’est ensuite prolongée, et le gardien comparaitra au début de l’année 2018 pour « violence en état d’ivresse ». Et depuis que le gardien a été relâché, son avocate a fait passer quelques messages, comme quoi Douchez ne sera jugé que pour « dégradation de bien d’autrui », et qu’aucune plainte n’avait été portée par la jeune femme qui n'avait pas été touchée. De plus, le sang retrouvé sur place serait celui de l’ancien parisien, clairement alcoolisé et colérique, et non celui de la victime présumée. Une version des faits qui a inspiré cette sortie de Pierre Ménès, pour qui cette histoire est allée beaucoup trop loin, et Douchez a été jugé coupable beaucoup trop tôt.
Un tissu de conneries. La fille n’a ni hématome ni saignement constaté par la police. Elle n’a pas porté plainte
— Pierre Ménès (@PierreMenes) 28 octobre 2017