Le Stade Brestois est bien parti pour finir à une place qualificative pour la prochaine Ligue des champions. De quoi influer sur l'avenir de Pierre Lees-Melou, très convoité.
Sous contrat avec l'actuel dauphin du PSG jusqu'en 2027, Pierre Lees-Melou a largement contribué au bon classement actuel de Brest. Alors forcément, son départ est inévitablement évoqué au prochain mercato, d'autant que lors du récent marché hivernal des transferts les dirigeants du Stade Brestois ont refusé son transfert à Rennes. Cela n'a pas empêché le joueur qui s'est révélé d'abord à Dijon, avant de rejoindre Nice, de réussir à briller jusqu'à cet instant de la saison. Interrogé par Prime Vidéo sur son avenir à Brest ou ailleurs la saison prochaine, Pierre Lees-Melou est resté très évasif, laissant clairement planer le doute sur ses réelles intentions. Il est vrai que si le SB29 joue la Ligue des champions, la tentation sera grande pour lui de ne pas bouger l'été prochain. Mais sa réponse n'est pas si claire.
💬 : "Pour être honnête je n'ai reçu aucun appel, je suis très bien à Brest donc je ne me prends pas la tête."
— Prime Video Sport France (@PVSportFR) April 13, 2024
🔴⚪ Pierre Lees-Melou est à 1⃣0⃣0⃣% brestois !#DSF pic.twitter.com/md5gUfgxLf
Interrogé par Marina Lorenzo, Pierre Lees-Melou révèle que rien ne sera décidé avant la dernière journée de la saison de Ligue 1. « Mon avenir n’est pas un sujet tabou, mais c’est juste que là il nous reste six matchs à jouer. Je veux finir la saison sans aucun regret et le plus haut possible. Après, on verra, mais pour l’instant pour être honnête je n’ai reçu aucun appel et je suis très bien à Brest. Donc je ne me prends pas la tête, déjà qu’il y a eu cet épisode qui a été bien trop long avec Rennes. Cela a fait beaucoup parler, ce que je n’aime pas trop, même si c’est aussi la récompense du travail accompli. On verra cet été ce qui va se passer, mais actuellement je suis 100% Brestois, et je me plais ici, en plus on est en train d’écrire l’histoire du club », a répondu le milieu de terrain de 30 ans, conscient que jouer la Ligue des champions n'est pas donné à tout le monde.