Parti lors du mercato estival de Bordeaux pour rejoindre Hoffenheim, Anthony Modeste n’avait pas caché qu’il n’était pas triste de quitter le club au scapulaire, les atomes crochus avec son entraîneur étant rares. Et Francis Gillot n’avait pas non plus pleuré avec ce départ de l’attaquant révélé à Nice. Invité de RMC, Modeste en a remis une couche, estimant que Gillot n’avait pas eu une attitude très franche du collier avec lui.
« Honnêtement, je n’ai pas senti le fait d’être désirable. Je n’ai pas eu envie de revivre la même chose que ce que j’avais vécu lors de ma deuxième saison à Bordeaux. Avec le président Jean-Louis Triaud, ça allait, on s’entendait bien. On ne peut pas plaire à tous les entraîneurs. Il suffisait de me le dire. Chacun fait sa vie maintenant. Je n’ai rien à dire sur Francis Gillot. Sauf qu’avant d’être un footballeur, je suis un homme et je pense que dire les choses en face, c’est mieux. Voilà », a expliqué Anthony Modeste, qui en est déjà à sept réalisations avec la formation de Bundesliga.