Le naming en France, beaucoup de club en parlent pour augmenter leurs revenus, mais très peu parviennent pour le moment à trouver une solution.
Bordeaux est le troisième club français de football a en bénéficier, après Le Mans et Nice. Pour le moment, Lille et Marseille se sont cassés les dents sur ce dossier, qui peut tout de même rapporter gros à l’heure où les clubs français comptent leurs sous. Ce jeudi, l’annonce donc du « naming » du Grand Stade de Bordeaux en Matmut Atlantique a forcément fait tiquer, mais la réalité économique est là. Après des mois de négociations, l’assureur a fini par débourser 50 % de la somme demandée au départ par la ville girondine selon Sud-Ouest. Ainsi, le gestionnaire du stade touchera un peu moins de 2 ME par an pour cette opération, et ce pendant 10 ans. Un montant similaire à celui que verse Allianz pour apposer son nom sur le stade de Nice, et qui sert forcément de tendance pour les clubs français désireux de passer par ce procédé pour augmenter leurs revenus, même si ce sont souvent, à part pour Lyon, les gestionnaires du site ou les municipalités qui en tirent bénéfice.