Abandonné par son actionnaire King Street, Bordeaux cherche un repreneur pour éviter la relégation administrative. Plusieurs investisseurs ont fait part de leur intérêt. Et pour le moment, c’est un candidat à l’étranger qui dominerait la partie.
La situation est particulièrement urgente à Bordeaux. Depuis jeudi et l’annonce au sujet de King Street, l’actionnaire qui refuse de subvenir aux besoins du club aquitain, ce dernier cherche activement son prochain propriétaire pour éviter de graves conséquences. L’heureux élu se trouve peut-être parmi les candidats déjà passés à l’action et cités par Le Parisien. En effet, le quotidien régional indique que plusieurs investisseurs français sont intéressés.
Priorité à une piste à l’étranger
Certains ont même contacté l’ancien patron Nicolas de Tavernost pour connaître les détails de la précédente vente au fonds d’investissement américain. Mais d’après la source, tous ces candidats ne seraient pas les mieux placés pour rafler la mise puisque c’est à l’étranger que Bordeaux aurait trouvé « la piste la plus sérieuse ». Pour le moment, on n’en sait pas plus sur ce potentiel repreneur mystère. Mais cette hypothèse ne devrait pas rassurer les supporters, et notamment le groupe des Ultramarines très impliqué, qui vont forcément privilégier des investisseurs locaux dont le projet sera le plus clair possible.
Plutôt logique après le fiasco vécu avec King Street et son président tant critiqué Frédéric Longuépée. A noter que Bruno Fiévet a confirmé sa candidature auprès de plusieurs médias, lui qui se dit prêt à s’allier avec un concurrent Pascal Rigo, lui aussi décrit comme un amoureux des Marine et Blanc. Enfin, le compte Twitter Girondinfos ajoute que l’ancien président du FCGB Stéphane Martin fait partie d’un des projets les plus sérieux. A croire que le prestige et la situation du club attirent du monde, ce qui est plutôt rassurant à l’heure où Bordeaux essaie de se maintenir sportivement en Ligue 1.