Terminée très difficilement, l’ère Laurent Blanc a néanmoins été plutôt couronnée par le succès avec le titre de champion de France en 2009 et une période de près d’un an pendant lesquels les Girondins ont été intouchables. Néanmoins, les relations avec les dirigeants du club aquitains ont rarement dépassé le cadre du travail, et Jean-Louis Triaud avait reconnu récemment qu’il avait été très difficile de nouer des liens pendant leur période commune. Un son de cloche similaire, mais un peu plus cassant, laisse entendre que du côté de l’actionnaire principal du club au scapulaire, on n’appréciait que modérément le comportement du champion du monde 1998.
« Ce n’est pas pour rien que Laurent Blanc était sur nommé ‘Le Président’. On était plus à sa disposition que le contraire. Avec lui, on se demandait qui était le propriétaire du club », a confié au Figaro Nicolas de Tavernost, pour qui Blanc menait donc l’ensemble des Girondins à la baguette pendant cette période.