Les complaintes contre l’arbitrage sont toujours aussi nombreuses après les matchs, et personne n’y échappe, dans les petits comme dans les gros matchs.
Le PSG pourra, par exemple, le confirmer, il est plus facile d’obtenir des pénaltys quand on domine des matchs et qu’on entre très régulièrement dans la surface. Dimanche dernier, lors du choc entre Bordeaux et Nantes, Malcom pensait bien bénéficier d’un pénalty après un accrochage dans la surface, alors qu’il semblait avoir fait la différence. L’arbitre n’a rien sifflé, ce qui a fait rire… jaune l’attaquant brésilien, persuadé qu’on siffle plus facilement des pénaltys pour d’autres clubs.
« Tout le monde a vu : c'est penalty ! Il m'a poussé, je ne peux rien faire ! Les pénaltys, il faut les siffler ! Contre Bordeaux, personne ne siffle de pénalty, et on en a besoin. On a besoin de marquer des buts et il faut siffler des pénaltys. S'il y a pénalty il faut le siffler », a expliqué l’ailier du club aquitain, pas vraiment adepte de la théorie du complot, mais persuadé que ce dimanche, un pénalty sifflé à l’approche de la fin de rencontre aurait pu permettre à son équipe de faire la différence sur Nantes, et mettre ainsi son équipe sur le podium.