Un temps pressenti pour devenir l’entraîneur de Bordeaux, Thierry Henry n’a finalement pas trouvé d’accord avec le club au scapulaire.
Dans son édition du jour, L’Equipe en dit un peu plus sur la nature du désaccord entre le meilleur buteur de l’histoire des Bleus et le fonds d’investissement américain GACP. Selon le quotidien, « Henry souhaitait des assurances, contrôler la politique sportive de l’équipe première jusqu’au centre de formation, mais aussi cinq recrues avant la fin du mercato ». Des requêtes pas vraiment du goût des repreneurs…
De plus, Thierry Henry souhaitait inclure de manière écrite dans son contrat un « droit de veto » concernant tous les mouvements en matière de transfert, « dans le sens des arrivées comme celui des départs ». Une nouvelle requête inacceptable pour GACP, qui compte bien être le décideur final en période de mercato. On comprend désormais mieux pourquoi aucun accord n’a été trouvé entre les Girondins de Bordeaux et Thierry Henry. Et cela ne devrait pas spécialement rassurer les supporters aquitains sur l’avenir du club.