Une panne de réveil qui coûte cher à Arles-Avignon

Du retard à l'allumage. Arles-Avignon a du attendre d'être mené de deux buts sur sa pelouse par le PSG avant de réagir. Malgré le beau but de N'Diaye, le promu s'est une nouvelle fois incliné (1-2) et se rapproche inexorablement de la relégation. Si Faruk Hadzibegic  a reconnu la supériorité de son adversaire du soir, il n'a pas voulu jeter la pierre à ses joueurs, dont il a tenu à souligner la bonne prestation en deuxième mi-temps.

« On n'a pas été récompensé. On a vécu deux mi-temps très différentes et encaissé deux buts, me semble-t-il, d'une grande naïveté. Mais le PSG a bien géré. Sans doute l'émotion peut-elle nous bloquer dans notre situation, ce qui explique notre départ tardif. Ensuite, à 2-0, on a compris qu'on n'avait plus rien à perdre et on a joué. Il nous faut trouver la solution pour la suite, mais sur la 2e période, je n'ai rien à reprocher à mes joueurs. Pour le PSG, cela a été trop facile... Ceci dit, j'aimerais revoir les images sur la main de Tiéné dans la surface. Le PSG jouera le titre, car il a la réussite du champion », a expliqué l'entraîneur de l'ACAA, dont les joueurs courent toujours après une deuxième victoire en championnat depuis le 6 novembre dernier...