Après avoir expliqué qu'il ne souhaitait pas entendre des femmes être aux commentaires des matches de football pour un souci de tonalité de voix, Denis Balbir a fait volte-face en affirmant qu'il avait été mal compris, alors qu'à priori sa déclaration initiale était très claire. Tandis qu'à juste titre de nombreuses journalistes ont fait part de leur désolation devant ce genre de propos, Jérôme Alonzo a lui fait entendre sa voix...très claire comme l'aime Denis Balbir. Et pour l'ancien gardien de but, devenu consultant, cette histoire de voix aiguë est juste bidon.
« Tant que j’ai affaire à quelqu’un qui parle le même langage que moi, celui du football, cela colle. Que le commentateur soit une femme ou un mec, qu’il ait un accent chti ou du Sud, ou anglais comme Darren Tulett, peu importe. Cette diversité fait l’histoire de la télévision. Il n’y a pas de timbre de voix prédéfini ! Si tous les journalistes et consultants avaient le même, on s’emmerderait drôlement… », explique, dans L'Equipe, Jérôme Alonzo, visiblement pas du tout du même avis que le commentateur de M6 et qui tient à le faire savoir.