S’il a annoncé bien avant tout le monde le refus de Laurent Blanc de prolonger son aventure chez les Bleus, ce n’est pas pour rien. Pierre Ménès est un proche de l’ancien sélectionneur et a donc du mal à digérer la fin de l’aventure du « président » en équipe de France. Logiquement, le journaliste a donc décidé de s’offrir la Fédération Française dans une chronique.
« La fédé a passé un contrat avec ses joueurs pour aller en quart de finale. La mission a été accomplie. La manière est un autre débat. Sanctionner vingt-trois joueurs et des membres du staff pour quelques gougnafiers me paraît parfaitement insupportable, et surtout relève d’une drôle de manière de concevoir la justice. On nous fait croire à un faux suspense sur l’arrivée de Didier Deschamps, à qui on souhaite bien du plaisir. Tout cela est ridicule et ne présage rien de bon à la tête d’une fédération qui ne progresse donc pas d’un millimètre. Et ça en devient de plus en plus inquiétant », a conclu dans sa chronique de Direct Matin, Pierre Ménès qui a annoncé il y a quelques jours que Didier Deschamps pouvait finir par accepter de prendre le relais de Blanc en équipe de France.